tardigrade@EYE OF SCIENCE/SPL - S.GSCHMEISSNER/SPL - SHUTTERSTOCK - GETTY IMAGES/IMAGE SOURCE

Le martyr du tardigrade

C’est le souffre-douleur absolu ! Pour explorer les limites de son incroyable extrêmophilie, les chercheurs le soumettent à des épreuves plus sadiques les unes que les autres.

par Vincent Nouyrigat,

Pan, crash, vlan, ggzzzz, tchakachakachak, couic ! Les scientifiques sont absolument sans pitié pour les tardigrades… Vous avez sans doute déjà croisé, sur les réseaux sociaux ou au musée, ces petites créatures d’à peine un millimètre au physique adorable  leur aspect potelé leur vaut les doux surnoms d’ourson d’eau ou de porcelet de mousse. Vous connaissez peut-être aussi leur réputation d’animaux indestructibles : ces bestioles sont capables d’entrer dans un état singulier de déshydratation et d’inactivité métabolique qui leur permet de presque tout encaisser – il suffit ensuite de réanimer ces super­héros avec une goutte d’eau. Alors forcément, ça démange…

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